Richard Olivier

Richard Olivier a écrit plusieurs pièces qui ont été jouées au théâtre et à la télévision.

Il est le co-auteur, avec le dessinateur Jean-Louis LEJEUNE, d’une bande dessinée de politique-fiction  » Amin Dada 1er Empereur de Belgique », censurée après quelques semaines de parution dans l’hebdomadaire belge « Pourquoi pas ».

Il a aussi réalisé, avec la participation de 63 auteurs, un livre-album intitulé:  » A la recherche du Cinéma perdu », édité à l’occasion du Centenaire de la naissance du Cinéma.

Il a écrit plusieurs dizaines d’articles et publié de nombreuses photographies dans des journaux belges et à l’étranger ainsi que des textes participatifs dans des ouvrages tels que

« Belgique, toujours grande et belle » (Edition Complexe)
« A chacun son cinéma » (Edition Luc Pire)
« Nous n’irons plus au cinéma » (Revue de l’Institut de Sociologie de l’Université Libre de Bruxelles)
« L’entre haine et trouille » (Edition ip)
ainsi que plusieurs plaquettes
« Je suis Cinéaste » et « Le pays qui a mal aux dents » (Editions de l’heure à Charleroi)
Il a remporté plusieurs prix d’écriture pour des nouvelles littéraires parues dans diverses revues et mises en onde à la radio. Il est aussi l’auteur de très nombreux scénarios écrits pour la télévision et la jeunesse.

En tant que cinéaste, et depuis le début de la création de la célèbre émission STRIP-TEASE, il a réalisé de nombreux sujets dont le tout dernier, intitulé  » Le der des ders ».

Cinéaste farouchement indépendant, Richard Olivier, est l’auteur de plusieurs courts et moyens métrages de fiction, diffusés à la télévision et au cinéma

Cinéaste d’intervention, mousquetaire et bretteur, électron libre, n’appartenant à aucune chapelle, Richard Olivier est avant tout documentariste.

Ces films ont été sélectionnés dans nombre de Festivals à l’étranger et diffusés sur de nombreuses chaînes de télévision de par le monde.

Sa devise: « Tourner pour ne pas mal tourner ».

« Le monde du cinéma, je n’en raffole guère. Son fric, son boucan, ses vedettes affichées, ses cocktails arrosés, ses smokings clonés, son marketing triomphant, sa presse pressée, ses Césars oscarisés, ses fictions usagées m’amusent quelquefois mais me dépriment plutôt. Seul m’intéresse vraiment le cinéma qui s’essaye à filmer la vérité et que l’on nomme cinéma du réel, faute d’avoir trouvé mieux, histoire de faire court. » Richard Olivier

The end

Richard Olivier & 13' — 1982

Les fous du roi

Richard Olivier & 57' — 1993

Esther forever

Richard Olivier & 88' — 2007
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