Les images et les plans de Marie André jouent sur proximité et différence. Ils sont portés par des hommes et des femmes qui se réveillent, se parlent, travaillent, et le lien narratif est simplement celui de la cinéaste, du regard de la cinéaste qui construit son film comme une partition musicale avec des mouvements, des reprises, des prolongements ou des arrêts de thèmes d’une très grande fluidité.
Jacqueline Aubenas
Marie André filme, sans commentaires, sans interviews. Eventails de situations sociales, gestes de tous les jours. C’est à des détails, par petites touches qu’apparaissent les particularités russes.
André Violier
Production : Paradise Films
Coproduction : CBA, RTBF (Carré Noir)
Avec le soutien du Centre du cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles